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corps des humbles de savoye perception.compréhension.transmission corps des humbles de savoye contact rubriques accueil aux pieds des larmes contact derniers articles queue con prends tue ? la solitude et le silence. le beau frère de dieu l'amour de ma vie les effets de la morphine newsletter calendrier ... chargement ... l m m j v s d articles les plus commentés le grand froid s'installe en savoie (0) face au plus grand des malades (0) pétition pour une carte vitale relatant votre carrière (0) françois hollande au bord de la faillite intellectuelle (0) spedidam, sacem, adami, scpp, pour un nouveau partage (0) module pierre denis corps des humbles de savoye sur derniers visiteurs rechercher statistiques visiteurs depuis le 10/04/2015 : 2016 connectés : 1 record de connectés : 16 liens plateforme de blogs aux pieds des larmes les larmes ont une âme qui débordent soit de bonheur ou de malheur. elles perlent de-ci de-là pour nourrir la terre en respectant le parcours qui lui est indiqué, favorisant ainsi la destinée afin que la terre garde mémoire du déboire ou des périples de l'être heureux. parfois, il arrive que l'on essuie ces larmes pour ne pas en dévoiler la teneur afin que l'on ne sache rien sur les sentiments qui s'y trouvent. alors d'un revers de la main on efface l'histoire qui s'inscrit sur les pommettes et on reprend son chemin en croyant que l'événement est à jamais mis au silence. or il se dissimulera dans tous les tissus qu'il va rencontrer et qu'il communiquera à qui veut l'entendre son contenu. robert-paris la solitude et le silence. par corpsdeshumbles le 5 décembre 2017 à 05:24 on ne peut subodorer, si parfois le silence s’impose, même s’il n’y a pas de causes ou effets, c’est un fait. généralement c’est un besoin pour se retrouver ou pour faire taire un fait en espérant l’oubli par nécessité. le silence parle de ce que l’on tait ou veut taire. comme en musique, il est d’une grande importance. il m’est l’accent à propager ou non la quintessence des éléments. parfois, le silence devient pesant au point de créer une gêne ou une peur. dans ce cas précis il pousse ou provoque un cri qui s’entend au plus loin. de ce fait, il appelle à cesser sa propre existence. on peut le murmurer à demi mot mais pas à en faire son emblème car cela serait un danger. le son qui s’en dégage vient agrémenter notre vie pour le meilleur ou pour le pire. il est plus ou moins contrôlable mais de là à dire que l’on en est maître serait absurde. c’est comme si on disait que l’on est maître de sa destinée. on peut faire des choix dans la vie mais qui se base sur des sensations ou nos connaissances, ce qui provoque bien souvent des erreurs. en ce domaine il faut être né sous une bonne étoile pour maitriser ce phénomène. le silence est comme la solitude qui ponctue ce qui a été dit ou fait, ou bien l’instant. en aucun cas cela doit être permanent sous peine de voir se profiler une mort à l’horizon. en effet, on ne peut vivre seul et le silence doit en faire autant aussi autant vous le dire. normal.dotm 0 0 1 205 1174 personnel 9 2 1441 12.0 0 false 21 18 pt 18 pt 0 0 false false false robert-paris votre commentaire le beau frère de dieu par corpsdeshumbles le 24 octobre 2017 à 12:33 il arrive parfois que nous fassions des rencontres plus ou moins singulières et en outre, il en est une présentement qui a retenue notre attention. celle d’un français qui s’est installé sur une ile du panama. les indiens le surnomme le beau frère de dieu. pourquoi me direz vous ? tout simplement parce que la sœur de ce français s’est vouée à dieu. etant mariée à dieu, son frère le français devient donc le beau frère de dieu. ce titre lui confère d’avoir l’avantage d’être un intouchable. attention, ce n’est pas un intouchable comme en inde qui là-bas est une gente que l’on n’approche pas. non, au panama l’intouchable est une personne que l’on respecte et à qui on ne lui fait pas de mal au contraire. voire on le protège. il faut dire que la plupart sont des indiens et ils sont très superstitieux jusqu’à l’excès. ils marchent pieds nus et ne mettent des chaussures que lorsque ils foulent le sol d’une ville mais les quittent dès qu’ils reprennent le bateau qui est le moyen de locomotion en ce lieu. au vu de la faune, il se peut et il arrive fréquemment que des morsures de serpent surviennent, mais l'hôpital est loin. comme il n’y a pas de sécurité sociale et que les revenus sont si faibles qu’ils ne peuvent se soigner, quand une maladie ou un accident se déclarent, on souhaite seulement que le patient guérisse mais bien souvent, il meurt malgré certains dispensaires qui sont à plus d’une heure de bateau. en clair, soit la vie prend le dessus, soit la mort se profile sous l’œil de la famille qui est fataliste. il ne travaille que si un besoin se fait sentir et s’arrête quand il est comblé. curieusement, ils ont tous un portable dont ils achètent la charge car il n’y a pas d’électricité. la nourriture s’en tient au poisson et aux fruits exotiques. et la monnaie est le balboa mais comme il n’y existe pas de billets c’est le dollar qui comble ce vide. quant à la langue c’est l’espagnol qui prime mais ils parlent couramment l’anglais. notre français qui se lance dans le cacao, devant cet univers est admiratif. quand il en parle, ses yeux brillent de milles éclats. certes ce ne sont pas là les conditions de la france, mais là bas, il est heureux. robert paris votre commentaire l'amour de ma vie par corpsdeshumbles le 10 septembre 2017 à 06:32 si je devais raconter ma rencontre avec lui, vous ne croiriez pas. c’était il y a quelques décennies de cela. il se trouvait là, dans un magasin, figé comme un mannequin, vers la place notre dame. a cette époque, je n’avais que faire de ce personnage car j’avais déjà fait des rencontres. certes ces rencontres n’étaient là que pour paraître et ces relations se voulaient ne pas être synthétique. pourtant c’était le cas. ce jour là, je reconnais que je ne pouvais détaché mon regard de cette beauté, dont les contours étaient attrayants, ceci au point d’en oublier ce à quoi j’étais venu. je me rappelle qu’en quittant les lieux, je ne pus m’empêcher de m’approcher de lui pour l’effleurer. en fait, je voulais juste le toucher. bon gré malgré, je me tus et pris la fuite. quelques jours plus tard, je me suis aperçu que je ne pensais qu’à lui. il fallait faire quelque chose. délaissant mon entourage, je décidais donc de retourner à ce magasin pour voir s’il était là. il était bien là, resplendissant, majestueux mais toujours figé. je décidais donc d’entamer la conversation, alors que le vendeur me fixait inlassablement. c’est à dire qu’il avait une seule idée en tête, que j’achète ! la conversation arrivant à son terme, je me suis dit, on ne peut pas se quitter comme çà ! alors sans attendre, je l’ai invité chez moi. certes, mon chez moi était petit mais il y avait assez de place pour lui. je me souviens encore de son arrivée, pour vous dire. moi l’empressé, je ne lui ai pas las laissé le temps de s’installer que j’ai entamé la conversation et lui poser des questions et cela jusqu’à plus en finir. il faut dire que le fait de le toucher me remplissait de bonheur. voilà l’amour de ma vie me dis-je, et pas question de se séparer, je ferai tout pour cela ! depuis, on vit ensemble pour mon plus grand bonheur. et croyez moi, ce piano que j’adore et qui m’accompagne depuis plus de vingt ans, je n’ai pas l’intention de le quitter. normal.dotm 0 0 1 283 1617 personnel 13 3 1985 12.0 0 false 21 18 pt 18 pt 0 0 false false false robert-paris votre commentaire les effets de la morphine par corpsdeshumbles le 9 septembre 2017 à 08:08 les effets de la morphine sont multiples. tout d’abord, si vous êtes sous morphine à l’état liquide ou par cachet par skenan ou actiskenan, cela n’aura pas les mêmes effets ni la même puissance. elle est là pour vous soulager d’une douleur qui peut-être insoutenable, donc bénéfique. le revers c’est qu’à létat solide comme le skenan, elle invite le pa